Comme mon dernier weekend - ce qu'on appelle communément celui du 14 juillet - était consacré à la visite d'amis en province, j'ai un peu bu et beaucoup ri. Mais comme je n'aime pas trop perdre mon temps (oui, même en vacances), j'en ai profité pour faire deux pierres d'un coup. C'est à dire visiter les dernières expos en cours à Nantes et Rennes.
Du côté de la cité des ducs, l'exposition Living Box au Hangar à bananes présentant des pièces plus ou moins fameuses, vieilles ou récentes (du Tubo de Joe Colombo au malicieux Pools & Pouf de Robert Stadler, en passant par le Lit Clos des Bouroullec datant de 1999) m'a un peu laissé sur ma faim. Peut être est-ce la scénographie de Matali Crasset, à la fois cloisonnée, décloisonnée et teintée d'une réflexion sociale et ironique, qui ne m'a pas convaincu sur le coup. Mais il fallait se diriger vers le fond du hangar où comme par magie quelques chaises et fauteuils d'André Arbus, Maxime Old et Jean Leleu issues des paquebots France et Normandie révélaient toute leur beauté délicieusement désuette. Sinon, au FRAC de la région était exposé la talentueuse Tatiana Trouvé.
Du côté de la cité des ducs, l'exposition Living Box au Hangar à bananes présentant des pièces plus ou moins fameuses, vieilles ou récentes (du Tubo de Joe Colombo au malicieux Pools & Pouf de Robert Stadler, en passant par le Lit Clos des Bouroullec datant de 1999) m'a un peu laissé sur ma faim. Peut être est-ce la scénographie de Matali Crasset, à la fois cloisonnée, décloisonnée et teintée d'une réflexion sociale et ironique, qui ne m'a pas convaincu sur le coup. Mais il fallait se diriger vers le fond du hangar où comme par magie quelques chaises et fauteuils d'André Arbus, Maxime Old et Jean Leleu issues des paquebots France et Normandie révélaient toute leur beauté délicieusement désuette. Sinon, au FRAC de la région était exposé la talentueuse Tatiana Trouvé.
À Rennes se tenait les Ateliers de Rennes, très réussie première Biennale d'Art contemporain pour la capitale de la Bretagne - parce que oui, les biennales sont à la mode et tant pis pour les mauvaises langues (voir le Technikart de ce mois-ci). Le gros de la manifestation se situait dans une superbe bâtisse autrefois occupée par l'armée sous la Révolution et simplement laissée en l'état depuis sa reprise par la ville : le couvent des Jacobins....
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... A suivre/To be continued
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